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07/04/2013

La nature meurt

 

Poursuite de la série "Pour la nature" avec la mise en ligne du chapitre 2 "La nature meurt. Qui sait le dire ?"

                               sur le site: www.ecologisme-ribotto.com

En voici le résumé et l'esprit.

Pour un certain nombre de personnes dont votre serviteur, la forte et actuelle réduction des espèces vivantes dont nous sommes responsables, est un phénomène qui prend à la gorge. Un phénomène très important. Pourtant, dans notre société, tout se passe comme s'il n'existait pas ou si peu, avec au mieux, parfois, de petits regrets furtifs.

Hypothèse et explication partielle, d'accord, du fait.

Il en va ainsi parce qu'il ne s'est encore trouvé jusqu'à ce jour, - c'est notre refrain - aucun talent capable de sensibiliser clair et fort et - et oui - disposant par ailleurs d'une "aura" assez lumineuse pour s'imposer....aux médias.

 

Courte analyse du chapitre.

En questions.

la régression des espèces vivantes, leur ampleur : c'est vrai, faux, exagéré?

Plus de doute, c'est vrai et ample. Les données officielles, publiques, disponibles, accessibles abondent. Sans doute s'agit-il ici de choisir les données les plus parlantes, les plus représentatives. Et de bien les dire.

 

2° Qu'est-ce-qu'on en a à faire de la régression de la nature ?

Pour celles et ceux qui reconnaissent une valeur en soi à la nature, pas besoin de longs développements. Pour la majorité de l'opinion, il en faut. Ca devient plus scientifique donc plus compliqué à exposer. Il faut traiter des "services rendus" par la nature, par la biodiversité. Convaincre en bonne logique, en usant d'exemples, que si tel service ou tel autre était mis...hors service, le futur de l'humanité risquerait d'être encore plus glauque. On manque "d'explicateurs" performants.

 

3° - Il faut réagir, chacun voulant réagir a ses préférences de thèmes, ses priorités. Pour nous, dans le cadre du Droit, la priorité est de sauvegarder, becs et ongles, le moindre centimètre carré, d'espace naturel.